Journal de voyage
On doit procédé à une investigation l'espace dans le but de trouver un espace qui soit intéressant. Nous sommes en train d étudier l'idée de intéressante , de "uniccum" de la ville ., aussi si on pense que chaque ville a un propre "unicumm".
10.H On a commencé à trouver le plaisir de faire notre première petite dérive . on s'est balade dans le passé de la ville, comme elle était la avant l'arrivé de bâtiments. On a traversé des territoires. Ce n'étaient pas des lieux, mais des territoires, une portion de terre qui implique l'existence des frontières ou des limites. La propriété du territoire était à la nature sous la forme de champs et de couleurs. La première contraintes était exactement ça, fermer la nature et l'entourer d'objets qu'elle ne pourra jamais comprendre.
11.H Je suis tombé amoureux de cette chaise, posé, délimitant un espace, une envie de paysage et de panoramas. L'envie de symboliser le geste de s'échapper.
Peut être c'est là que l'on peut commencer à travailler, sur le désire de chacun de vivre son changement. De toute façon personne n'appartient à une catégorie fixe. Ici on comprend bien ça.
La chose bizarre c'est que ces lieux semblent une terre coupés d'un autre pays, d'une autre planète et collés dans un paysage complètement différent. Ici on oublie presque que la normalité en réalité c'est une autre normalité.
L'idée de possession, d'externation de désir et des besoins :
4 chaise sur un promontoire indiquent une terrasse , indiquent la présence d un individu.
12.H On a traversé des rues, on s'est baladé un peu partout. Finalement on a descendu par une pente . On a baissé la tête, il y avait une branche d'arbre à 60 cm. On a baissé la tête face à la nature , et quand on a levé les yeux nous étions dans une sorte de jardin, un jardin surdimentionné par apport aux bâtiments de grandes échelles d'à côté. Mais il y avait quelque chose bizarre. Le jardin avait plus de force que le construit, il était plus vivant. Tel un gardien, un cheval énorme sorti tout droit d'un livre de mythologie, il nous a regardé fixement dans les yeux à chaque passage. Il était parfait dans cet ensemble de forces et de pouvoirs naturels. Il était la, juste pour nous faire comprendre, sans discours, sans faire des citations ou des cours magistraux d'architecture, notre échelle. Comme on est petit par rapport à l'environnement. Ici soit il n'y a rien a regarder soit peut être il y a plein de choses à comprendre.
Déjà le sens, le pourquoi de ces espaces ici dans la ville. Pourquoi la nature cherche de s'imposer et de se montrer avec les couleurs les plus belles pour se faire aimer?
C'est sympa, il y a des structures métalliques bizarres ; j'ignore leur usage et si ils ont réellement une fonction. c est un ensemble de formes mis dans cette espace. Peut être l'homme l'a mis pour se souvenir les formes géométrique de la réalité et de sa naturalité.
14.H Finalement on a fini. On mange une galette dans une tendo structure en bois et plastique sur une esplanade avec l'Arche de la Défense à l'horizon, voiture, béton, géométrie et gestes imposés. On se rend compte que la ville, même si elle est si bruyante au niveau musicale elle est si silencieuse au niveau expressif .
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