Allée la corde est sorti du sac au plancher hier soir! Maintenant voyons voir ce que ça donne déplier... un peu impressionné par la matière, la manière dont elle est plié, on s'interroge un peu sur la longueur des ces cordes. On en prend une première pour la mesurer... 35m! On va pas en rester là! Voilà, sur les photos on c'est essayé avec la plus grande corde (on ne sais pas trop combien elle mesure) et effectivement elle est plutôt longue. On la déployé dans l'appartement voir un peu ce que sa donne en l'accrochant un peu partout et elle même accrochant certaine chose sur son passage.
Conclusion : la corde est très longue ou alors l'appartement est trop petit, circuler, c'est soit en rampant soit en marchant au plafond!
Conclusion de la conclusion : c'est assez impressionnant de voir se créer des densités qu'on ne soupçonne pas ou bien ce que l'on aurait pu croire comme dense devient vide! Des pleins qui deviennent des vides, des vides qui deviennent des pleins... il y a peut être un problème d'aménagement quelque part...?


Première récupération de corde, premier contact avec la matière. En faite c'est lourd, chose à laquelle on n'avait pas trop pensé, et qui risque de modifier quelque peu ce que nous aurions pu prévoir. On tiens à remercier le Groupe Universitaire de Montagne et de SKI à Paris pour nous avoir céder gratuitement ce matériel.

Aie! Assez pitoyable, ça fais un peu un truc du genre "erotico-pub"! Mais sinon l'idée d'utiliser ce genre de produit nous étaient passé par la tête... sans encore trop savoir pour en faire quoi!

Joli performance, surement de bons frissons,...ok! Mais bon, nous ceux qui nous intéressent la dedans serait plutôt toute la logistique mise en place. Atteindre le toit de l'immeuble, s'accrocher... et finir par relier deux bâtiments. Intéressant,mais ça me rappel un peu l'images de petites ruelles où des cordes sont tendues pour faire sécher le linge... heu Giuseppe tu confirmes?

Petit reportage intéressant sur la manière dont le corps peut se déplacer, se déployer dans l'espace avec des contraintes qui sont : un corps attaché et du bâti. Ces contraintes deviennent alors génératrices d'occupations.


Voilà la première difficulté rencontré parmi tant d'autre, pouvoir se constituer un stock de matériel. Nos première recherches se sont orienter vers la corde, mais notre difficulté est bien sur financière. Il nous faut donc pouvoir soit négocier à des prix préférentiels soit se faire donner du matériel.
Bien sur nous avons commencé par appeler les usines fabricants de la cordes, si la réponses n'était pas non, c'était alors des démarches longues à mettre en route pour négocier les prix tout en justifiant l'utilisation dans un cadre "d'installation architecturale" au sein d'une école d'architecture.
Quelques contacts se sont établit avec la visites des usines mais nouvelle difficulté, avoir un produit qui correspond à l'usage que nous voulons en faire.
Après environ deux semaines de recherches et de négociations, nous avons enfin trouvés une usine près à nous céder de la corde d'escalade statique pour un prix intéressant en par rapport à tous ceux que nous avions pu avoir auparavant.
Voilà donc notre première facture, que nous avons réglé avec hâte afin de pouvoir recevoir très rapidement nos quelques mètres de cordes!

Existe t-il des "points d'accroches" dans la ville permettant l'apparition d'une impulsion, d'un mouvement, d'un évènement... contrebalancent les caractères d'une ville établit et figé?
C'est sur la base de ce questionnement que nous tentons de construire une réflexion et des expérimentation en ayant une pratique du terrain.
Tout d'abord se pose des questions essentielles, tels que : qu'est ce qu'un point d'accroche? De quelle manière ces points d'accroches peuvent se matérialiser ou non? Afin de pouvoir répondre à ces questionnements, une réflexion ne peut suffir. Il est donc important dans ce travail d'arpenter, de regarder notre environnement et pas seulement notre environnement urbain.
En parallèle de ce travail sur les points d'accroche, il nous sembles importants de pouvoir concrétiser ces idées. Une autre question rentre donc en jeu, comment matérialiser les potentiels issus des points d'accroches, de leurs situations, de leurs espaces et de leurs environnements?
Afin de pouvoir répondre à ces questions, notre pratique consiste à rendre physique les liens existants entre différents points d'accroches. Ces liens prennent la forme de cordages réalisant un maximun de connexions pour ensuite devenir un tissage complexe non programmé et ne répondant à aucune règle de répétition ou bien lié à la technique. Il se doit, que ces connexion s'établissent par des contraintes du lieu devenant ainsi une mise en tension à la fois de la matière mais aussi des ces occupants.
L'objectif de ce type d'intervention, est de rentre visible des connexions possibles par une occupation de l'espace. Mais le travail ne peut s'arrêter sur un simple constat qui serait de dire, oui, il y a connexion et occupation possible ou bien non cet espace et ses points d'accroches ne le permettent pas. Pour pousser le jeu plus loin, nous pensons que cette première pratique est capable de mettre en évidence des potentiels de l'espace d'intervention. C'est à dire : nous créons une densité qui parmi elle possède différentes densités. Dans toutes ces dénsités nous estimons que des occupations et des utilisations sont alors possibles mais toujours induit par les densités et leurs constituantes.
Concrètement, nous voulons mettre en oeuvre par la suite ces possibilités. Il nous faudra donc avoir un travail permettant l'occupation par le corps en utilisant la matière corde (sous différentes formes) et les différentes techniques de sa mise en oeuvre.

Disclose city ou rendre visible la ville . On est partie sur cette idée de révéler la ville, de montrer à voir la ville avec d'autres formes qui ne soient pas les formes conventionnelles de l'architecture . On aborde le terme architecture comme le geste d'occuper l'espace et de le vivre. Ces gestes permettent de révéler des espaces, des images, née à partir d'une étude du préexistant . Créé une couche sur la ville préexistante et dans les interstistes de la ville pour permettre de la vivre sans cloisonnements rigides. Une ville en suspension créé à partir d un dessin naturel du lieux, qui peu à peu s'enrichit et gagne son identité grâce à la présence humaine. Cela, permettant aussi l'infinitude, de façon à s'approprier un espace, de regarder le vide comme un dessin créé-tracé-caché. A nous de le faire ressortir, comme un silence emplit de bruits, un vide emplit de signes. Ca veut dire aussi changer le fonctionnement imposé d'un espace soit spatialement soit usuellement. Créer la connexion entre les espaces ça veut dire lier le construit, construire le vide avec le vide, ou un peu plus que un vide...

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Disclose city o come rendere visibile la città . Siamo partiti dall' idea di svelare la città , revelarla con altre immagini che non siano quelle convenzionali dell' architettura . Sviluppiamo il termine architettura attraverso il gesto di occupare lo spazio e viverlo .
Tutti questi gesti permmetteranno la rivelazione di spazi e di immagini nati a partire dal reale .
Creare uno strato sulla città preesistente , nei suoi interspazi e permettere di vivere senza limiti .
Una città in sospensione creata partendo dal disegno naturale e reale del luogo , che grazie alla presenza umana prende coscienza delle sue potenzialità . Studiamo il preesistente come un disegno creato-tracciato-e nascosto .
Sara a noi di farlo risorgere.
Come il silenzio implica suoni , il vuoto implica segn .
Vuol dire anche cambiare le funzionalità imposte , sia spazialmente sia in termini di uso , di uno spazio .Creare la connessione tra gli spazi vuol dire mettere in relazione il costruito , costruire il vuoto con il vuoto , o qualcosa più del vuoto...

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Ce blog a été créé dans un premier temps comme l'élément principal constituant notre mémoire de 5éme année d'étudiant en école d'architecture. Plusieurs raisons nous ont motivés à travailler sur un support tel qu'un blog. Nous pouvons parler de la practicité. Il permet aux différents acteurs de pouvoir suivre la progression du projet ainsi que d'intervenir par le biais de commentaire. Aussi, il nous permet de stocker des textes, des images, des vidéos de façon régulière et de manière assez brute (la hiérachisation du blog est organisée de manière temporelle) permettant ainsi d'éviter des formes rigides et convenues du mémoire.

La seconde justification du blog est la relation existante entre le mémoire et le projet que nous allons développer pour notre diplôme. Le mémoire se veut être une mémoire de notre projet, de nos recherches, de nos expérimentations et de nos productions. La dualité existante entre le mémoire et la pratique du terrain pourront ainsi s'enrichir l'un et l'autre.

L'un des objectifs de ce blog est de pouvoir communiquer avec les différentes personnes liées au corps enseigant qui suivent notre travail. En complément, nous recherchons à pouvoir recueillir des réactions de personnes liées de près ou de loin avec notre travail afin d'enrichir et de faire progresser nos réflexions et nos pratiques.


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