la nature perdue et des fois retrouvée .
All the people wondering if i am really insane
Disclosecity
L'entrée. L'entrée n’a pas de portes préférentielles.
Le point d'arrivée. Le parcours mène à la seule idée du parcours ; il n' y a pas de fin. IN Cursus
Le trajet. Le trajet suit l'instinctivité des gens, leurs intérêts, leur façon de se placer par rapport à la connaissance.
On peut partir de l'idée du projet, pour arriver aux actions. On peut partir des actions pour arriver aux actions. On peut ouvrir un blog ou l'ouvrir et le fermer tout de suite pour voir autre chose.
Marquer une entrée et un parcours, pour nous c'est une façon d'ordonner les choses en contradiction soit avec le projet soit avec notre envie de poursuivre notre démarche.
Pendant 6 mois le projet a grandi, et il a évolué à partir des différents discours et expériences qui, chaotiquement ont amené à la réalisation d'installations et de concepts éphémères, dans l'obligation de suivre l’ordre temporel .
Le discours avance avec le blog effaçant avec le temps des éléments. Le blog les archives. Le présent devient un passé à interroger.
Des fois nous avons eu presque la haine pour être arrivés à un point fixe, pour avoir eu la présomption d'une idée finale à un court moment, ou il n’y avait rien à ajouter .
Rien à ajouter mais plein de choses à additionner.
Le travail est présenté dans un trieur qui permet à qui le lit, d’aller voir tout de suite les parties les plus intéressantes pour lui, bouger dans différentes directions, faire des tours.
Disclosecity
blog
disclose city
post-it
action
reference
reportage
derive
Libellés : disclosecity
Le commerce et l’organisation du travail est un jeu de
lignes créant des relations qui font vivre l’espace de
différentes façons .
L’urbanisme et la hiérarchie des différentes parties de la
ville sont fondés sur le rapport à l’église, le point le plus
important pour la ville .
EX 3 ou “Quand on trace les points d’intérêts “
Organisation du travail au port de Naples
Assisi. L ‘église comme point d’intérêt
Libellés : disclosecity
Le trait qui forme des espaces vides, qui sépare la richesse
de l’indésirable. Un trait qui sépare des rassemblements,
des forces et des matériaux d’un point mort ( ou destiné à
la mort).
Le trait comme liaison. On voit bien que la concentration
des énergies de la ville est tout dans le geste d’occuper
l’autre rive du fleuve . Exemple d’un accrochage
économique, sociale et symbolique de la ville de Istanbul,
qui à travers ses ponts a fondé son caractère et son
charme de croisement entre Europe et Asie .
EX 2 ou “Quand on trace le besoin de terre “
frontière Etat d’Israel - population palestinienne
Istanbul
Libellés : disclosecity
La séparation des populations, des besoins et du besoin
d'appartenance à un groupe créé des traits dans la géographie
du territoire, des signes qui ne sont pas manifestes,
qui sont pas réels mais qui touchent la réalité dans une
façon des fois trés violente .
EX 1 ou “Quand on trace des appartenances “
frontière Mexico - USA
frontière USA - Russie
Libellés : disclosecity
A partir de textes concernant le POS (plan d'occupation des sols) et le PLU (plan local d'urbanisme) tiré du live : "Dictionnaire de l'urbanisme et de l'aménagement" écrit sous la direction de Françoise Choay et Pierre Merlin, on tente ici une lecture critique de textes peu digestes.
Les critiques sont brutes, relevant la pensée immédiate de la lecture. Elles peuvent être soit de l'ordre du questionnement, de la consternation, de l'approbation... soit du second degré.
Fichier pdf CRITIQUE POS-PLU
Libellés : disclosecity
Au centre des silos, un moteur permet une rotation verticale. Sur cet axe vertical, un second axe est actionné mais lui est d'orientation horizontale. Nous fixons ici plusieurs cordes sur l'axe vertical et différents points d'accroches sur le silo afin de tresser les cordes.
Libellés : action
Première action réalisée une fois arrivés sur le site d'expérimentation. La balançoire : réconfort de l'enfant qui joue et qui cherche toujours à aller plus haut.
Libellés : action
Libellés : post it
Libellés : post it
Libellés : post it
Libellés : post it
Libellés : post it
Libellés : post it
Libellés : post it
Libellés : post it
Libellés : post it
Libellés : post it
Analyser l'espace sur la base des matières qui le constitut.
Chaque territoire a une mémoire si influente qu'elle ne pourrait jamais être défigurée par le construit. A la limite, la mémoire pourrait seulement être importunée. Le langage que nous avons choisi est celui de la corde. Il est le moyen de mettre en tension ou en détention des objets différents, des espaces, des approches territoriales et des approches émotives que l'homme a dans son territoire.
Nous nous trouvons dans un labyrinthe de formes,de plans masses, imposés par des situations économiques, sociales. L'idée est de tourner autour, tâcher de découvrir si un nouveau code peut nous donner des espaces, nés dans le lieu et appartenant au lieu.
Nous pensons qu'il y a un conflit entre l'idée d'identité d'un lieu donnée par la "propagande" humaine. Celui-ci donne des formes, des us et des habitudes pour vivre mieux. L'appartenance d'un élément à l'ensemble est la relation qui s'établit si X est compris entre les éléments de Y.
Nous restons toujours dans l'idée d'identification, où les éléments se présentent à l'environnement pour être reconnus comme membres d'un groupe, sans prendre les signes distinctifs qui permettent d'établir un rapport d'appartenance, comme assimilation des caractères qui constituent le lieu.
Il semble aussi que l'idée d'"origine" s'éloigne et s'évapore.
Entre temps on construit à Londres, Paris, Shangaï, Tokyo, Mexico, Cape Nord, en Suède et dans les petits villages de l'Islande des formes qui répondent seulement à des fonctions, et qui n'adaptent pas les exigences au lieu (et la réponse aux exigences à travers les formes).
Les ruisseaux s'étranglent et ils sont violentés par le construit ; les formes restent les plus simples, fondamentales et élémentaires. Le vocabulaire des images se réduit.
La forme n'est plus basée sur la créativité, mais filtrée à travers la conventionnalité (le carré, le cercle et la pyramide), mais pas la ligne et le dessin?
Nous nous posons comme voyageurs entre les lieux. L'idée du voyage au niveau créateur. Nous nous sommes rendus compte que nous pouvions collecter des choses très importantes en écoutant et en regardant. Pendant cette activité créatrice, il est plus facile de réussir à dépasser le concept de limite, parce que dans un voyage nous sommes confus. La barrière critique et autocritique est à ce moment-là dissoute. Les formes naissent du croisement d'éléments et l'endroit même montre sa propre envie d'évoluer et de se compliquer.
La corde nous permet d'enquêter les espaces.
C'est comme ça que les formes les plus banales gardent ainsi d'autres formes. L'envie de mouvement et d'évasion est très forte. La corde nous permet ceci, de révéler l'espace que nous ne réussirons jamais à emprisonner dans nos boîtes.
Les espaces que nous avons trouvé jusqu'à maintenant étaient à la fois un jeu de forces statiques et à la fois un jeux de forces furieuses et violentes. C'était un travail sur le particulier quand on se rendait compte que en réalité derrière nous, le geste était parti pour sortir, pour trouver d'autres appuis, d'autres hauteurs, d'autres forces génératrices d'espaces.
C'est l'espace même qui se dévoile à toute vitesse, en même temps chaotique et harmonieux. Le bâti semble un empêchement au déploiement des formes... ou peut-être est-ce le moyen?
En travaillant à notre projet nous avons remarqué la magie, et la facilité du devenir de la forme et de la forme à l'usage.
Transformation symbolique du territoire avec d'autres moyens qui ne soient pas l'architecture.
LES ENDROITS
Les lieux que nous avons choisis jusqu'à maintenant, sont des lieux inexprimés du paysage urbain. Développer des lieux sur la base de leurs potentialités naturelles en tenant compte du caractère acquis du lieu (plutôt en tenant compte du caractère social du lieu). A traverser, connaître et créer des lieux dans le présent, c'est essentiellement un acte, ou mieux, un mouvement créateur. Tiziana Villani
Constant
New Babylon ends nowhere ( since the earth is round ) : il knows no frontiers ( since there are no national economies ) or collectivities ( since humanity is fluctuating ). Every place is accessible to one and all. The whole earth becomes home to its owners. Life is an endless journey across a world wich is changing so rapidity that it seems forever other .
Intensifier la perception, se mettre à l'écoute, voila une condition nécessaire afin que les territoires se révèlent à celui qui veut les traverser. C'est la trascendance actuelle comme perception inépuisable de signifiés l'existant dans un continuel mouvement. "C'est l'évènement qui fuit sans se dérober"(Tiziana Villani). "L'objectif est de laisser une trace de notre contact avec cet objet et avec le spectacle, dans la mesure ou ils font vibrer notre regard, virtuellement notre toucher, nos oreilles, notre sens du risque, du destin ou de la liberté. Il s'agit de déposer un temoignage, non plus de fournir des informations". Maurice Merleau - Ponty
Libellés : disclosecity
Regarder ses pieds et avancer, avancé pour arriver, mais comment y arriver sans regarder? Se laissé entrainer par le rythme de l'eau, la même qui me fait baisser la tête mais qui me guide. Mais pas question de trainer les pieds, pour arriver plus vite et moins tremper.
Affronter un élément redouté, sans jamais réussir à le surmonter. Voilà peut être une explication : nous sommes si petit et tellement vulnérable que le seul moyen que nous trouvons pour nous protéger est de se replier ou bien d'exterminer.
Se sentir agressé physiquement et moralement et voir les éléments se déchainer, sur ceux sur quoi nos pieds bien trop douiller se déplace. Une fois de plus me voila prévenu mais je ne sais pas pourquoi cet fois il me semblait saisir le message.
Dorénavant, quand il m'arrivera de rentrer à pied, faute d'avoir raté le dernier métro, et si une fois de plus tu te manifeste, comme cette fois là par la pluie, ou bien autrement. Je crois que je rentrerai la tête en l'air et que je serai apprécier.
(Pour préciser : Petite promenade improvisé de République à Crimé le long du canal de l'Ourcq une nuit de pluie.)
Libellés : derive
Journal de voyage
On doit procédé à une investigation l'espace dans le but de trouver un espace qui soit intéressant. Nous sommes en train d étudier l'idée de intéressante , de "uniccum" de la ville ., aussi si on pense que chaque ville a un propre "unicumm".
10.H On a commencé à trouver le plaisir de faire notre première petite dérive . on s'est balade dans le passé de la ville, comme elle était la avant l'arrivé de bâtiments. On a traversé des territoires. Ce n'étaient pas des lieux, mais des territoires, une portion de terre qui implique l'existence des frontières ou des limites. La propriété du territoire était à la nature sous la forme de champs et de couleurs. La première contraintes était exactement ça, fermer la nature et l'entourer d'objets qu'elle ne pourra jamais comprendre.
11.H Je suis tombé amoureux de cette chaise, posé, délimitant un espace, une envie de paysage et de panoramas. L'envie de symboliser le geste de s'échapper.
Peut être c'est là que l'on peut commencer à travailler, sur le désire de chacun de vivre son changement. De toute façon personne n'appartient à une catégorie fixe. Ici on comprend bien ça.
La chose bizarre c'est que ces lieux semblent une terre coupés d'un autre pays, d'une autre planète et collés dans un paysage complètement différent. Ici on oublie presque que la normalité en réalité c'est une autre normalité.
L'idée de possession, d'externation de désir et des besoins :
4 chaise sur un promontoire indiquent une terrasse , indiquent la présence d un individu.
12.H On a traversé des rues, on s'est baladé un peu partout. Finalement on a descendu par une pente . On a baissé la tête, il y avait une branche d'arbre à 60 cm. On a baissé la tête face à la nature , et quand on a levé les yeux nous étions dans une sorte de jardin, un jardin surdimentionné par apport aux bâtiments de grandes échelles d'à côté. Mais il y avait quelque chose bizarre. Le jardin avait plus de force que le construit, il était plus vivant. Tel un gardien, un cheval énorme sorti tout droit d'un livre de mythologie, il nous a regardé fixement dans les yeux à chaque passage. Il était parfait dans cet ensemble de forces et de pouvoirs naturels. Il était la, juste pour nous faire comprendre, sans discours, sans faire des citations ou des cours magistraux d'architecture, notre échelle. Comme on est petit par rapport à l'environnement. Ici soit il n'y a rien a regarder soit peut être il y a plein de choses à comprendre.
Déjà le sens, le pourquoi de ces espaces ici dans la ville. Pourquoi la nature cherche de s'imposer et de se montrer avec les couleurs les plus belles pour se faire aimer?
C'est sympa, il y a des structures métalliques bizarres ; j'ignore leur usage et si ils ont réellement une fonction. c est un ensemble de formes mis dans cette espace. Peut être l'homme l'a mis pour se souvenir les formes géométrique de la réalité et de sa naturalité.
14.H Finalement on a fini. On mange une galette dans une tendo structure en bois et plastique sur une esplanade avec l'Arche de la Défense à l'horizon, voiture, béton, géométrie et gestes imposés. On se rend compte que la ville, même si elle est si bruyante au niveau musicale elle est si silencieuse au niveau expressif .
Libellés : derive
Voilà une petite bibliographie qui nous a été donné, on s'y attaque doucement. Pour les gens de La Villette il y a la côte pour les trouver à la bibliothèque!
Libellés : reference